Pour se prouver qu’elle était capable de faire des pièces beaucoup plus grandes, elle s’est lancée dans la réalisation d’un corbeau aux lignes très complexes. Après 50 heures passées avec son aiguille à la main, épuisée et les muscles endoloris, elle l’a fini. "Je suis littéralement passée de petits tatouages simples à cette immense pièce, et tout mon travail aujourd’hui découle de là."
En ce moment, le tatouage handpoke a le vent en poupe. Mais Sarah Lu ne compte pas s’arrêter là. Cette année, elle va passer une partie de son temps à pratiquer le tatouage dans son studio au Royaume-Uni et le reste du temps, elle va enseigner dans un orphelinat isolé au Viêt Nam. Après un voyage là-bas il y a 10 ans, elle s’était fait la promesse d’y retourner un jour pour aider les enfants qui y vivent.
"Beaucoup de gens ont essayé de me faire changer d'avis, parce qu'il y a des tonnes de raisons pour lesquelles je ne devrais pas le faire - dont ma propre sécurité. Mais je ne suis pas du genre à abandonner."
En ce moment, le tatouage handpoke a le vent en poupe. Mais Sarah Lu ne compte pas s’arrêter là. Cette année, elle va passer une partie de son temps à pratiquer le tatouage dans son studio au Royaume-Uni et le reste du temps, elle va enseigner dans un orphelinat isolé au Viêt Nam. Après un voyage là-bas il y a 10 ans, elle s’était fait la promesse d’y retourner un jour pour aider les enfants qui y vivent.
"Beaucoup de gens ont essayé de me faire changer d'avis, parce qu'il y a des tonnes de raisons pour lesquelles je ne devrais pas le faire - dont ma propre sécurité. Mais je ne suis pas du genre à abandonner."
